Lorsqu'un casino est en activité depuis près de vingt ans, il y a forcément des divergences d'opinion quant à savoir s'il s'agit d'un endroit réputé pour jouer ou non. Cependant, je n'ai jamais rencontré de site avec des sentiments plus polarisants; mis sur la liste noire par certains sites, après un examen élogieux par d'autres.
Gaming Club Casino est l'un des rares casinos en ligne qui semble avoir des gens dans l'un des deux camps; vous l'aimez ou vous le détestez. Essayons de comprendre ce qui est à la racine de la nature déroutante de ce casino. es origines de Gaming Club Casino remontent aux débuts des sites de jeux en ligne. Autrefois l'un des casinos en ligne pionniers, l'entreprise a changé de mains et est maintenant supervisée par le groupe de casinos Digimedia. Ce groupe a consolidé un grand nombre des anciens casinos autonomes Microgaming pour tirer parti de la liquidité et des ressources mises en commun. Au cours de cette transition, il semble y avoir eu des problèmes concernant des conditions générales plus restrictives; ceux-ci n'ont pas été bien accueillis par les joueurs et les affiliés, provoquant une certaine agitation sur les forums. Bien que tout cela se soit produit, je peux comprendre à quel point il peut être difficile de fusionner toute une série de cabinets indépendants, je veux donc donner à Digimedia le bénéfice du doute dans ce cas. Gaming Club a deux licences de jeu promues sur sa page d'accueil - l'une de la Malta Gaming Authority et l'autre de la Kahnawake Gaming Commission au Canada. Ces jours-ci, la licence maltaise a plus de poids dans la communauté des joueurs, je suis donc heureux de voir qu'ils ont suivi ce processus de diligence raisonnable. Pour leur offre, Gaming Club Casino utilise Microgaming comme fournisseur exclusif de logiciels pour ses jeux numériques. Bien que je sois souvent plus excité lorsqu'un casino utilise plusieurs partenaires de contenu, dans ce cas, je suis tout aussi heureux de ne voir qu'un seul nom dirigeant la marque. Microgaming est un leader mondial dans le développement de logiciels de casino, ayant remporté plusieurs prix de design au cours des deux dernières décennies. Non seulement vous trouverez un excellent contenu dans les casinos Microgaming, mais vous verrez également le niveau de détail mis dans le gameplay et la vitesse, ce qui conduit à une très bonne expérience de joueur. La suite de jeux Microgaming est disponible au Gaming Club et est disponible sous forme de jeux Instant Play basés sur un navigateur, et la plupart de ces jeux ont également été configurés pour l'accès au navigateur mobile. Pour leurs jeux Live Dealer, Gaming Club a choisi de travailler avec Evolution Gaming, une autre excellente décision de ce casino. Evolution concentre leur attention uniquement sur le logiciel Live Dealer, s'efforçant d'offrir aux joueurs les tables les mieux diffusées avec un large éventail de choix de revendeurs.
Les Chorégies ont toujours eu le souhait d’essayer d’externaliser leurs productions et ainsi de participer au rayonnement culturel français à travers le monde.
Les Chorégies ont notamment collaboré avec le Festival de Baalbeck au Liban en 2009, en représentant La Traviata dans la production que les Chorégies avaient elles-mêmes réalisée en ouverture de l'édition 2009 de leur Festival. Cette production avait été donnée sous l'égide des Chorégies, dans la mise en scène de Frédéric Bélier-Garcia et dans une distribution identique à celle d'Orange, à l'exception toutefois du rôle de Violetta chanté par la jeune albanaise Ermonela Jaho.
En 2012, la production de La Boheme a été reprise dans un premier temps au Liban, cette fois au Festival de Beiteddine. La mise en scène de Nadine Duffaut a été adaptée au lieu, un palais vieux de 200 ans, joyau de l'architecture libanaise. Jean-Yves Ossonce a dirigé pour l’occasion l'Orchestre Philharmonique du Liban. Vittorio Grigolo, qui interprétait le rôle de Rodolfo à Orange, indisponible à cette date, et qui fut remplacé par Paolo Fanale ; que l'on entendra dans Falstaff début 2013 à Opéra National de Paris. Lionel Lhote a endossé le rôle de Marcello à la place de Ludovic Tézier et Christian Helmer reprit celui de Schaunard. Dans un second temps, cette même production de La Boheme a été reprise en Corée dans le cadre d’un nouveau Festival d’opéra. C’est ainsi que deux représentations furent données sous la direction de Myung Whun Chung, qui se trouvait à la tête de l’Orchestre Philharmonique de Séoul, et avec en tête d’affiche Angela Gheorghiu et Vittorio Grigolo.
Les Chorégies d’Orange affirment ainsi leur notoriété et confortent leur place parmi les festivals d’opéra de renommée internationale. D’autres pistes de collaboration sont d’ores-et-déjà en cours d’étude et nous espérons qu’elles pourront aboutir.